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Tu me dis allez tu dois prendre le large ,
Mais pourquoi tu veux que je déménage,
Ah! c'est à cause de mon entourage,
Vous m'écoutez et vous perdez courage ,
Vous n'avez pas le cœur à l'ouvrage ,
Tout ça pour un simple témoignage,
Qui je dois dire me fait rage,
Mais si vous ovules que je porte un message,
Je veux bien mais je n'ai pas la nique,
Car mon esprit est en naufrage,
Et il ne veut pas prendre le large,
Mais je reste chez moi en calfeutrage,
Pour que personne me croise,
J'ai peut-être de l'audace,
Mais c'est tout à fait un sevrage,
Qui n'est pour moi inconcevable,
La famille est en surmenage,
Et elle habite à des kilométrages,
Je les encourage mais ils ne veulent pas me croire,
Mais il faudrait faire un dépoussiérage du bien et du mal,
Mais ça c'est difficile à concevoir,
Car il y'a beaucoup de commérage,
Mais seulement à mon désavantage ,
Et qu'ils restent tous dans leurs pâturage ,
C'est plus commercial qu'un héritage,
Qui est magouillage et débrouillage ……………….
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Il est passé cette nuit,
Mais sans rien dire ,
Et sans faire aucun bruit,
Mais qu'est ce que cela veut bien dire ,
Il est passé dans la maison,
Sans crier son nom,
Dans le fond ,
C'est peut -être une étranger ,
Qui vit sur le sol Français ,
Après tout ça ne me dérange pas ,
Mais il faut impressionné ,
Par autant de puissance
Il voulait qu'on l'écoute ,
Mais surtout sans avoir de doute ,
Car ils sont nombreux à errer sur la route ,
Ils sont même à la déroute
J'aimerais qu'il chanfe de vie ,
Mais elle est si compromise ,
Il n'a même quoi dormir ,
Il erre toute la nuit ,
Pour y trouver un refuge ,
Mais quel déluge ,
On lui apporte une boisson chaude dans cette rue ,
Mais peut-transformer cette vie ?
Est ce vraiment possible il est exclu ,
Lui aussi de sa famille,
Il est tout étonné
D'entendre ses paroles ,
Car il n'est pas allé à l'école ,
Mais elle lui on révélait ,
Qu'on pouvait prendre le contrôle ……………..
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De quel côté il souffle ,
C'est un vrai gouffre ,
Mais cela dépend des saisons ,
Mais il se pointe à l'horizon,
Pas très loin de ma maison ,
Mais je lui pose une question,
Qui restera sans réponse ,
Parfois il peut-être doux ,
Mais ce n'est pas le cas du tout ,
Mais c'est comme un sifflement
Qui murmure dans mes oreilles évidemment ,
Il s'en va et réapparaît ,
C'est un vrai mystère ce grondement ,
Et il est même assez turbulent ,
Je lui demande le silence ,
Mais il ne m'écoute point pour l'instant,
Ça dure et ce n'est pas excellent ,
Vivement le printemps
Car les oiseaux chantent ,
Tous ensemble et ça change vraiment,
C'est important à mes yeux,
Oui je suis heureux,
Et c'est un vrai bonheur ,
Et de voir les fleurs,
C'est merveilleux ,
Toutes ces couleurs ,
Elles se mélangent une très belle nuance ,
Mais par la suite elle fanent ,
Ça c'est plutôt désespérant ,
Mais on ne va pas se fâcher pour autant ,
Quand apparaissent les nuages ,
Je suis un peu en rage
Mais quand vient l'orage ,
Là je déménage ………..
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Pour moi ce n'est pas une chose difficile ,
D'arrêter de parler car je goûte à la vie ,
Et également à ces méfaits ,
Car c'est très dur d'avoir une conversation ,
Car beaucoup passe et c'est une exception,
Car lire c'est une chose mais ce n'est pas libre ,
Car je ne vois aucun avis ,
Donc je me suis dise ,
Les gens ne savent pas lire ,
Moi je ne suis rien et voilà qu'aujourd'hui ,
Je ne sais même plus si j'existe ,
Vous pouvez me détruire ,
Et même me nuire ,
Cela n'empêchera pas la critique ,
Mais je ne vais pas m'ouvrir,
Et je ne vais pas me reconstruire ,
Pour vous faire plaisir ,
Bien souvent je travaille la nuit,
Car avec la lumière les idées brillent ,
Et avec les étoiles elles scintillent ,
Mais je vis un rêve d'opaline ,
Car en même temps je dessine ,
C'est peut-être pire ,
Mais il y a toujours ce risque ,
Et comme dans ce domaine ,
C'est toujours la même rengaine ,
Alors j'esquive je suis stupide ,
Mais c'est le danger de la vie ,
Ça peut paraitre fragile ,
Mais je suis libre ,
Je trahis ma liberté d'écrire ,
Mais c'est des surprises ,
Et puis si j'expose mes idées c'est peut -être
de la flatterie ou de la moquerie ,
C'est la vie ………...
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C'est un vrai délire ,
Je suis vraiment une incomprise ,
Déjà personne ne sait lire ,
Par contre moi j'écris ,
Je me demande pour qui ?
Et parfois même j'hésite ,
Je suis seule dans la rue ,
Je suis exclue ,
Peu importe ma destination ,
Je ne suis pas vue ,
J'erre jour et nuit ,
Et on me bouscule
Et ça devient une habitude ,
Je m'éclipse pour un rien ,
Des drôles de regards hagards,
Ça je dois dire que je les crains,
Le soir tout est serein ,
Mais tous ces airs hautains ,
Je ne suis qu'une vaurien ,
J'essaye de jouer au pantin ,
Mais depuis ce départ soudain,
Je n'ai guère que le dernier point ………..
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