Tu penses que j'ai peur de toi ,

Tu peux prêcher le mal

Je n'insiste pas ,

Tu peux m'en vouloir ,

Là je suis déçue un peu plus que toi ,

Mais à force de me balader dans le brouillard ,

Je pense que c'est un signe de désespoir  ,

Mais en sachant que personne ne veut me croire ,

Vous voyez je titube dans le noir ,

Mais ôtes cet habit il te va si mal ,

Ce n'est pas un rôle de détourner cette chose ,

Mais quelles en sont les causes ?

Celle ci elle est bonne ,

Je creuse dans ce fossé et j'aperçois une note 

Il y a comme un désaccord ,

Mais je reste conforme ,

Oui il arrive parfois 

De se tromper de porte ,

Mais c'est une mauvaise direction ,

Pour moi ça reste une vision ,

Même une simple conversation ,

Et toutes ses pensées nébuleuses sont mortes ,

Tu ne peux plus vivre dehors ,

Tu dois conclure un accord ,

Tu ne dois pas mettre ce chapeau haute forme ,

Car il te va mal  cherches autre chose ,

Oui signe le pacte de la ténébreuse ,

Elles sont tellement nombreuses ,

Ouvrir les yeux et ne rien déceler ,

À choisir le néant rend la vérité moins cruelle ,

À défaut de marcher et de tâter ,

Laisse immerger de ta main ce filon de sel

Car il va s'échapper et la belle avec ,

Tous les jours je dois deviner qui se cache ,

Et redéfinir ton plumage ,

Jusqu'à même éclaicir tes ombres révulsés ,

Et même te reconnaitre sans hésiter ,

Alors là c'est de mal me juger ,

Oranges amères douces et révoltées ,

Pourquoi je n'ai pas ouvert ma porte aux affamés …………….